Quand Aurélien Tchouameni raconte son rêve en bleu
Fierté ! C’est le mot qui ressort le plus souvent de la bouche d’Aurélien Tchouameni, quand il évoque ses débuts avec l’équipe de France. Un honneur pour le milieu de terrain de l’AS Monaco, qui accompagne de nouveau son capitaine en club, Wissam Ben Yedder, pour le rassemblement de ce mois de novembre à Clairefontaine. Avant d’affronter le Kazakhstan samedi, 20h45 sur M6) et la Finlande (mardi, 20h45 sur TF1), pour les deux dernières rencontres de qualification pour la Coupe du Monde 2022, le numéro 8 des Rouge et Blanc s’est confié devant la caméra de la Fédération Française de Football.
🇫🇷📍 𝗖𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲𝗳𝗼𝗻𝘁𝗮𝗶𝗻𝗲
Le rassemblement a commencé pour nos deux Monégasques avec les Bleus.
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— AS Monaco 🇲🇨 (@AS_Monaco) November 9, 2021
21 ans, 5 sélections et déjà 1 trophée !
« C’est déjà une grande fierté d’avoir pu honorer cinq sélections avec l’équipe de France. Je suis arrivé lors du premier match contre la Bosnie et j’ai pu rapidement m’intégrer dans ce groupe », rappelle d’abord celui qui a récemment remporté sa première compétition avec les Bleus. « Au fur et à mesure des matchs, j’ai gagné en confiance, et puis il y a ce trophée en Ligue des Nations qui est venu couronner ces premières sélections », avoue-t-il, lui qui n’est encore âgé que de 21 ans.
Une intégration « facilitée » par des connaissances
Mais avec la tunique bleue, il n’était pas en terrain inconnu. Aurélien a notamment retrouvé chez les A son pote du centre de formation des Girondins, Jules Koundé, ce qui a facilité son intégration. « J’avais la chance de connaître déjà plusieurs personnes, donc ça m’a aidé à m’intégrer, mais c’est surtout sur le terrain où mes coéquipiers m’ont donné beaucoup de conseils. Et c’est ce qui m’a permis de montrer mes qualités », poursuit celui qui a été élu MVP monégasque en août et en septembre.
Les Bleus, un rêve de gosse
Et pourtant, il a eu le temps d’espérer rejoindre le groupe de Didier Deschamps : « C’était un rêve de joueur pour l’équipe de France. J’ai eu la chance de faire toutes les sélections de jeunes, donc je passais à chaque fois devant le château, et je me disais qu’il fallait continuer à travailler pour un jour monter ces marches-là », se souvient Aurélien. Conscient qu’il va falloir livrer une vraie « bataille » face au Kazakhstan, il est prêt à se rendre disponible, en l’absence sur blessure de Paul Pogba.
C’est tout le mal qu’on lui souhaite. D’ici là, retrouvez l’intégralité de son interview au micro de la FFF, sur ses premières impressions en sélection.
*Crédits photos : équipe de France – Guillaume Bigot